Actuellement, le domaine de la médecine ne cesse de s’améliorer. Si le traitement à l’aide de plantes médicinales a été pratiqué depuis des siècles, celui à base de CBD a toujours été renié. Avec la découverte des effets que procure ce constituant du cannabis, on a pu constater qu’il était possible de soulager le cancer avec le CBD. En quelques années, cette plante a su gagner sa place dans le domaine médical et thérapeutique.

Le CBD : qu’est-ce que c’est et dans quel intérêt l’utiliser ?

Le CBD ou cannabidiol est une molécule issue des plantes de chanvre. Il existe une autre molécule appelée THC, qui constitue la majeure partie du cannabis. D’autres molécules, moins connues viennent s’ajouter au CBD et au THC, leur groupe s’appelle cannabinoïdes.

Le CBD contribue principalement dans le traitement médical d’un patient présentant des douleurs insupportables, particulièrement, celles liées au cancer. La légitimité de celui-ci n’est malheureusement pas acceptée dans tous les pays. En France, sa commercialisation et son utilisation sont légales, mais sujettes à de nombreuses réglementations.

Quels sont les effets du CBD face au cancer ?

Des études démontrent que le CBD serait capable de stopper temporairement la prolifération des cellules cancéreuses ou bouleverser la nouvelle vascularisation des tumeurs. Par contre, aucune analyse à ce jour n’a pu prouver que ce dernier peut empêcher la croissance tumorale. Cependant, ils peuvent être employés pour soulager les symptômes liés au cancer grâce à leurs propriétés analgésiques. En outre, le CBD soulage la douleur et diminue également les risques de nausées et vomissements résultant de la radiothérapie.

Quel format de CBD choisir pour soulager le cancer et quels sont ses autres avantages ?

Le cannabidiol peut se présenter sous plusieurs formes, mais la plus adaptée pour le traitement d’un patient atteint d’un cancer est certainement l’huile de CBD. À l’état pur, celle-ci ne contient aucune trace de THC, il n’y a donc aucun risque ni d’effets psychoactifs. Malgré tout, il est crucial de vérifier la composition de chaque produit avant d’effectuer ses achats. Il existe sur Internet de l’huile de cannabidiol contenant du THC, dont l’élaboration n’est pas assurée.

Mise à part son efficacité à atténuer les symptômes du cancer, l’huile de CBD contribue également à lutter contre le stress et l’anxiété. Elle pourra aussi vous aider à vous débarrasser de l’insomnie, si vous souffrez de troubles du sommeil. Le CBD vous permettra de même d’éviter d’être atteint de maladies psychiques comme la schizophrénie ou la paranoïa. Il s’avère que ce dernier est efficace pour évincer la dépendance aux drogues.

Les médicaments utilisés en chimiothérapie vont combattre les cellules cancéreuses en les détruisant. Cependant, ils peuvent aussi détruire les cellules valides, entraînant des effets négatifs sur la santé. Optez pour les huiles essentielles pour soulager le cancer, un traitement complètement naturel totalement recommandé par les médecins.

Les effets secondaires de la chimio

Un des effets secondaires le plus courants est la baisse de cellules sanguines, causant fatigue et étourdissements, ou l’augmentation des risques de saignements. Les globules blancs ou les leucocytes réduits, la chimiothérapie peut affaiblir le système immunitaire, et par conséquent augmenter le risque d’infection. On peut aussi faire face à une perte d’appétit et de cheveux, des douleurs au niveau des articulations et des muscles, ou encore une réduction des fonctions cognitives. Heureusement, il existe les huiles essentielles pour soulager le cancer, et pour lutter contre ses effets secondaires.

De l’huile essentielle, parfaite pour lutter contre les effets secondaires d’une chimio

Le traitement chimiothérapeutique est particulièrement éprouvant. Quoi de mieux pour lutter contre la fatigue qu’une bonne dose de sommeil ? Les huiles essentielles ont la réputation d’être une aide efficace pour une bonne détente, et donc pour aider à trouver rapidement le sommeil. Elles sont aussi recommandées pour aider à gérer et traiter le stress et la pression. Son application sur le corps, sur les zones douloureuses ou encore en utilisant un diffuseur, va soulager la douleur. Elles améliorent aussi les fonctions cognitives, fonctions qui ont été éventuellement réduites par la chimio. L’huile essentielle nourrit, et booste même l’alimentation des cellules cérébrales, améliorant de ce fait la mémoire et l’aptitude à se concentrer. La défense du corps, le système immunitaire probablement affaibli par le traitement chimio-thérapeutique, l’application cutanée ou la diffusion va contribuer à vous protéger des maladies comme la grippe, la toux, le rhume ou d’autres maladies infectieuses. En plus, les huiles essentielles permettent aussi d’éloigner les insectes pouvant porter des maladies de vous, d’une pièce ou de la maison entière.

En plus…

Les huiles essentielles peuvent être directement appliquées sur la peau, ou par l’intermédiaire d’un diffuseur qui va prolonger ses effets. L’utilisation de ses huiles permet de garder un environnement frais, essentiel pour se remettre sur pied, et va permettre de faire une économie sur la facture de la climatisation, ou encore la facture des docteurs, car les visites chez eux vont se faire rares avec les fonctions de prévention contre la maladie des huiles.

L’abus des antibiotiques chimiques est devenu un grand danger à l’heure actuelle. Voici un produit naturel largement bénéfique pour la santé, le propolis. Adopté comme anti-infectieux puissant, le propolis est classé parmi les meilleurs antibiotiques naturels les plus efficaces. Alors, comment cette substance protectrice des abeilles apporte des bienfaits pour l’humanité ?

Le propolis : c’est quoi ?

Le propolis est une matière végétale produite par les abeilles. C’est une substance résineuse qui se présente sous forme de cire. Il sert à protéger la ruche des abeilles des moisissures, des champignons et des microbes.

Environ 300 éléments forment ce médicament naturel, ensemble tous ces éléments agissent pour apporter les innombrables vertus du propolis. Il est à la fois antiviral, anti-infectieux, antiseptique et antifongique. Il a aussi ses vertus anesthésiques et anti-inflammatoires qui le rendent encore plus spécifique. Ce produit de ruche est une solution incontournable pour apaiser la douleur. Outre, le propolis est un excellent allié pour renforcer le système immunitaire, il stimule la formation d’anticorps et un cicatrisant puissant.

Quels sont les bienfaits du propolis ?

Nombreuses sont les vertus du propolis, il se révèle un médicament naturel très efficace. Le propolis représente de nombreux avantages pour l’homme. L’herboristerie naturelle l’utilise comme prévention contre les maladies infectieuses. Il est recommandé pour traiter les maladies de la voie respiratoire, aussi idéal pour renforcer les défenses immunitaires surtout en période d’hiver. C’est effectivement un remède actif contre la grippe, le rhume, la toux, le mal de gorge, la bronchite, la pneumonie et agit efficacement pour lutter contre plusieurs types d’infections virales ainsi que les troubles ORL.

Comment utiliser le propolis ?

Le propolis se présente sous de nombreuses formes. Toutefois, sa forme naturelle en grille est la plus conseillée. Pur, il peut être mâché ou décocté avec du miel. Blanche, jaune, rouge, verte, cette substance universelle varie de couleur selon son origine. Pour chaque type de couleur, les caractéristiques sont également variées. En pharmacie, vous pouvez le découvrir en spray buccal ou nasal, en tablettes et en gélules. Parfois, il est sous forme liquide avec laquelle il faut mélanger avec de l’eau.

Pour prévention, la cure de propolis s’étend au minimum trois semaines et trois mois au maximum. Bien que le propolis soit un produit naturel, il est déconseillé aux enfants de moins de trois ans. Maintenant vous connaissez toutes les vertus du propolis et ce qu’il apporte pour votre santé, n’hésitez pas à l’utiliser dès aujourd’hui.

Le principal composant du gingembre lui apporte son effet antioxydant sur l’organisme. Les cellules du corps sont ainsi protégées des divers radicaux libres. Le gingembre agit également sur le processus physiologique de la mort cellulaire, qui a lieu lorsqu’une cellule cancéreuse est repérée par l’organisme. De cette manière, en détruisant ces cellules, les vertus du gingembre permettent de réduire la progression de multiples tumeurs.

Les recherches le démontrent

Aux États-Unis, lors d’une étude exécutée sur des souris : une injection de cellules cancéreuses colorectales a été réalisée sur ces dernières. Une substance contenant les principaux actifs du gingembre fut ensuite administrée chaque jour sur la moitié des souris. Le reste, soit le groupe témoin, ne disposait d’aucun traitement. Après deux semaines, les tumeurs se sont développées chez les souris témoins, et non chez celles qui ont reçu l’extrait de gingembre. Au bout de deux mois environ, les souris du groupe témoin ont dû être éliminées à cause de la taille importante de leur tumeur. Et les rongeurs de l’autre groupe étaient toujours en vie, mais la taille de leur tumeur était moins évidente que chez les autres. Les vertus du gingembre sur le cancer ou les tumeurs malignes sont ainsi confirmées.

Les effets du gingembre face au cancer

Le gingembre est alors une plante aux effets prometteurs dans le traitement et la prévention des cancers. Dans le cas où vous subissez un stress oxydatif d’ordre chronique dans votre quotidien, une infusion quotidienne de racine de gingembre vous sera très bénéfique. Pour en tirer le meilleur, la consommation de gingembres frais serait l’idéal. Vous les trouverez facilement aux supermarchés ou auprès de magasins bio. Pour être certain de faire le bon choix, fiez-vous à sa couleur dorée constituée de rhizomes légèrement ridés et son odeur très parfumée. Vous pouvez également consommer du gingembre sous forme de poudre à ajouter aux préparations culinaires. Sinon, il en existe aussi sous l’aspect de gélules à avaler directement avec un verre d’eau.

Les cas liés aux traitements du cancer

Les vertus du gingembre se font remarquer dans la lutte contre les effets secondaires de la chimiothérapie. La prise de gingembre en capsule limiterait les vomissements et les nausées. Ces effets sont valables, même si la plante est combinée ou non avec d’autres traitements standards. Par ailleurs, grâce à ses propriétés anticancéreuses, la consommation de gingembre permet d’éradiquer les cellules ovariennes cancéreuses. De nombreuses recherches l’ont attesté, la présence importante d’antioxydants naturels dans sa composition en est principalement la source.

 

L’avancée de la science a permis de découvrir récemment qu’il était possible d’aider les patients affaiblis par les effets secondaires de la chimiothérapie avec l’aide des probiotiques. En effet, le microbiote intestinal joue un rôle très important dans la mise en santé de l’état général du corps humain.

Les perturbations occasionnées par la chimiothérapie

La chimiothérapie reste le traitement principal pour lutter efficacement contre la propagation des cellules cancéreuses dans l’organisme. Cela se fait par l’administration continue de la cyclophosphamide qui est une molécule anticancéreuse utilisée contre plusieurs types de cancers. En fait, cette molécule a pour effet secondaire de perturber l’équilibre de la flore intestinale qui est constituée de plus de 1000 espèces bactériennes. Notez que cette dernière a pour rôle principal d’assurer une meilleure digestion, un meilleur apport nutritionnel et une bonne stimulation immunitaire. Par conséquent, en la perturbant, la cyclophosphamide entraine souvent une diarrhée qui peut être suivie d’une perte de poids qui engendre des malaises et de la fatigue.

Le rôle des probiotiques : pour doper la chimiothérapie

Les probiotiques sont des compléments alimentaires qui ont pour rôle de renforcer la flore intestinale en apportant un surplus de bactéries et de levures vivantes pour que cette dernière puisse accomplir son rôle dont assurer le bon fonctionnement de l’appareil digestif avec l’absorption des nutriments nécessaires. Mais de récentes études ont démontré que la prise de probiotiques augmenterait également les effets positifs de la chimiothérapie. En effet, en passant dans le sang, les bactéries intestinales dont l’E.hirae et B. intestinihominis augmenteraient la réponse immunitaire en détruisant les cellules cancéreuses. Bref, les cellules tumorales sont attaquées par deux parties : premièrement par la cyclophosphamide grâce à la chimiothérapie et deuxièmement par l’effet dopant des cellules intestinales

Probiotiques : une approche simpliste

Une diarrhée aigüe peut conduire à une forte déshydratation, à une perte importante d’éléments essentiels  et donc à une fatigue généralisée. Les vertus de probiotiques pendant une chimiothérapie ne sont pas négligeables car  avec l’apport des milliards de bactéries avec 3 à 5 types différents servent à combler le déficit pour que la flore intestinale puisse remplir son rôle. Des expériences ont rapporté que la prise  d’un sachet de 900 milliards composés de 4 souches de lactobacilles, 3 de bifidobactéries et une de streptocoques en deux fois par jour par des patients cancéreux a considérablement atténué les effets secondaires gênants comme la diarrhée. Mais en plus, la chimiothérapie présente plus de résultats que d’habitude.

Le cancer de la peau n’est pas assez populaire pour provoquer un dépistage systématique auprès de tous ; ni assez mortel pour lancer des campagnes de prévention. Toutefois, il ne faut pas le négliger pour autant et se préparer à toutes les éventualités.

Qui doit se faire dépister du cancer de la peau ?

Sont considérées comme à risque les personnes à peau très claire car leur peau brûle plus facilement au soleil. Les personnes ayant de nombreuses tâches pigmentées ou des grains de beauté doivent aussi être vigilantes. Les personnes qui ont subi de sérieux coups de soleil pendant l’enfance également. Une exposition excessive et chronique entraînant des brûlures même superficielles. Sinon, les personnes ayant une peau claire et qui ont vécu dans un pays tropical pendant l’enfance, leur peau n’étant pas destinée au soleil de ces régions. Ou les personnes ayant des cas de mélanome dans leur famille. Un dépistage de cancer de la peau doit être effectué assez régulièrement.

Commencer par un auto-examen

Un auto-examen doit être fait par les personnes à risque tous les trois mois. Il observe l’ensemble de la peau nu de la tête aux pieds, pour évaluer les tâches pigmentées ou les grains de beauté. La présence de grains de beauté en surnombre nécessite la réalisation de photos pour observer leurs évolutions, même infimes. La vigilance est requise lorsque des changements surviennent. Pour un dépistage du cancer de la peau, un changement au niveau de la taille, la forme, la couleur ou l’épaisseur justifie une demande d’avis médical. Un grain de beauté différent des autres doit également attirer l’attention car ils sont tous pareils pour une personne. Autres symptômes : des plaies qui ne cicatrisent pas, ou des boutons persistants.

Dépistage par un professionnel

On consulte un dermatologue pour les maladies de la peau. Le dépistage du cancer de la peau doit se faire tous les ans pour les personnes à risque, sans signes particuliers lors des auto-examens. Il procède à un examen visuel complet de la peau, à l’aide d’une loupe éclairante et grossissante. C’est le dermatoscope. Il permet de voir à travers la première épaisseur de l’épiderme. S’il constate une lésion suspecte, soit la personne doit mieux la surveiller, soit il effectue un prélèvement pour en faire une biopsie. Avec une réponse positive, une ablation chirurgicale sera effectuée. En tout cas, il faut être vigilant car un diagnostic précoce offre d’excellentes chances de guérison.

Face à un  risque de cancer, vous pouvez faire face à un dépistage  génétique. Il s’agit d’un dispositif fortement recommandé à tous les individus présentant un risque de cancer. Suite à ce dépistage, vous  serez soumis à des mesures préventives mettant en exergue des traitements sûrs.

Que faut-il comprendre concernant le dépistage génétique ?

Le dépistage  génétique cancer peut devenir obligatoire dans plusieurs cas de figures. Le dépistage peut devenir obligatoire pour un individu dans le cancer a frappé des antécédents familiaux. La présence d’une forme héréditaire de cancer peut amener un individu vers un dépistage obligatoire. Vous devez envisager un dépistage génétique dans le cas où trois cancers identiques  se font apercevoir dans  une même branche familiale. Force est de constater que si un individu jeune est atteint d’un cancer, les probabilités génétiques peuvent être assez élevés. De plus, le cancer des  seins ou des ovaires constituent un aspect génétique sérieux s’il touche plus de deux femmes dans une même famille.  Par ailleurs, le dépistage a pour but d’identifier les diverses mutations génétiques chez une personne dont les antécédents touchés par un cancer.

Cancer : Tout ce qu’il faut savoir concernant le dépistage génétique

En général, le dépistage génétique est obligatoire pour une personne atteinte du cancer. Il s’agit d’un moyen fortement appréhendé pour comprendre  la provenance du cancer. Le déroulement du dépistage commence par une prise de sang. Par la suite, l’analyse des gènes peut prendre du temps. Pour réaliser ce type de test, vous pouvez  venir auprès des centres spécialisés. Deux cas de figure peuvent se présenter dans les résultats d’analyse. L’absence d’une mutation génétique ne vous libère pas des risques. Par ailleurs, la constatation d’une mutation  génétique induit une prise en charge  spécifique et un traitement adéquat.

Donner de l’importance au dépistage génétique face au risque de cancer

Le dépistage génétique peut devenir obligatoire dans plusieurs cas. Il est à savoir que toutes les mutations génétiques ne sont pas héréditaires.  Vous pouvez faire  face à des mutations sporadiques. Suite à un  dépistage génétique, vous devez absolument mettre en valeur des mesures préventives. Par ailleurs, les résultats peuvent être lourds sur le plan psychologique d’où un accompagnement peut être nécessaire. De toute évidence, le dépistage génétique est un test médical mettant en relief la recherche des changements au niveau des chromosomes et des gènes d’un individu. La présence des troubles héréditaires peut amener un individu à faire face à un cancer héréditaire.

 

Le cancer est une affection due à une multiplication de cellules malades, qui ont subi de fortes modifications ou de mutations. Les cellules malades qui se multiplient engendreront l’apparition d’une tumeur dans l’organe touché. Ces excroissances peuvent se développer et sera à l’origine d’une douleur, d’un mauvais fonctionnement de l’organe voire de la nécrose de l’organe. Aussi, en suivant le flux sanguin, ces cellules malades vont quitter l’organe atteint pour migrer et envahir d’autres parties du corps. En se répandant dans l’organisme, on dit qu’il y a une métastase.

Qu’est-ce que le dépistage du cancer ?

Le dépistage est la recherche d’une trace de lésions précancéreuses ou des anomalies précancéreuses. Le dépistage permet une détection précoce avant l’apparition de symptômes. Ainsi, cette détection précoce permettra de mieux soigner et de traiter, même d’éviter l’apparition de cancer. Le dépistage se fait régulièrement à partir d’un certain âge, se fait selon le sexe, selon le type de cancer… Le dépistage se fait chez le médecin, ou on peut s’y informer.

Pour quelle maladie faut-il dépister ?

Tous les organes sont des zones à risques d’apparition de cancer. Mais le dépistage des cancers de certains organes est recommandé. En premier lieu, le dépistage du cancer des seins. Ce type de cancer est le plus répandu surtout pour les femmes malgré les cas d’existence de cancer de sein chez les hommes. Il est recommandé de faire une palpation chez un professionnel chaque année à partir de 25 ans et une mammographie tous les deux ans à partir de 50 ans.

En second lieu, le dépistage du cancer du col de l’utérus. Cancer n’atteignant que les femmes, il est recommandé de faire une vaccination contre le virus responsable à partir de la puberté,  et de faire un test de dépistage tous les trois ans à partir de 25 ans. Puis il y a le dépistage du cancer du côlon. Le dépistage se fait par un test immunologique. Le dépistage s’adresse aux hommes et aux femmes. Le test rapide est à faire chez soi, tous les deux ans après passage de chez le médecin.

Quels sont les facteurs de risques pour l’apparition de cancer ?

L’apparition de cancer est liée à des facteurs intrinsèques et des causes extrinsèques. Les facteurs intrinsèques sont liés à l’intérieur même de l’organe, voire de la cellule : la prédisposition génétique ou héréditaire, l’exposition à de substances cancérigènes qui  engendre de troubles génétiques. Concernant les facteurs extrinsèques, qui sont des causes externes, il y a les habitudes alimentaires qui manquent de fruits et légumes et riches en aliments transformés, le manque d’activité physique…

Les fumeurs ne sont pas uniquement les seules victimes de la fumée du tabac. Ces derniers peuvent nuire à la santé de tous ceux qui respirent ces fumées. Comme plus de deux tiers des fumées se propagent dans l’air, ce n’est pas si étonnant que le tabagisme passif présente des risques conséquents pour la santé. Des études montrent que des milliers de non fumeurs sont décédées à cause de ce phénomène.

Les cancers : affections jugées plus dangereuses causées par le tabagisme passif

Nul n’est censé ignorer l’existence des cancers du tabagisme passif. Comme il s’agit d’un problème lié à la respiration, le cancer des poumons est la principale maladie causé par ce phénomène. Des rapports d’analyses exécutées par le Centre International de recherche confirme le rapport qui peut persister entre cancer de poumon et tabagisme passif. Outre que les poumons, le tabagisme passif peut également favoriser le cancer des seins. Même si les preuves scientifiques ne sont pas suffisantes, des recherches confirment que des risques accrus liés au cancer du sein sont constatées chez les femmes.

Le tabagisme passif peut-il provoquer de l’asthme ?

En réalité, la fumée passive présente plus de risques au niveau respiratoire. De ce fait, tout ce qui est question d’infection des voies respiratoires peut-être en rapport avec le tabagisme passif. Le poumon est la première cible lorsque vous respirez la fumée des autres, puis une sensation d’oppression au niveau de la cage thoracique peut se produire. Des crises d’essoufflement et des toux s’enchaînent. Si vous êtes déjà asthmatique, en vous exposant au tabagisme passif, la gravité de votre maladie va se développer de plus en plus. Selon des études, les jeunes enfants asthmatiques vivant dans un milieu enfumé ont plus de risques d’accroître leur asthme.

Le tabagisme passif et la maladie cardiovasculaire : Quel est le lien ?

Le principal élément qui relie la maladie cardiovasculaire et le tabagisme passif est le monoxyde de carbone. Cette molécule qui compose les fumées de tabac va sûrement attaquer vos globules rouges. Ce phénomène a un effet dangereux pour votre santé. Une fois les globules rouges attaqués, un risque de la diminution du transport d’oxygène peut être constaté, et les symptômes de la maladie cardiovasculaire ne tardent pas à se manifester comme la fatigue, des respirations courtes et gênées, ainsi que l’altération du fonctionnement des muscles. Ainsi, étant uniquement un proche d’un fumeur, vous pouvez bel et bien attraper cette maladie.

Les cancers liés au tabac entraînent le décès d’une centaine de milliers de personnes chaque année à travers le monde. La fumée de tabac transforme les cellules normales de l’organisme en fragmentant et en modifiant leur ADN. Cette situation peut conduire une cellule dite normale en une cellule cancéreuse. Quel que soit le type de tabagisme, les fumeurs ou non exposés à la fumée sont sujets à développer un type de cancer lié à l’emploi du tabac. La durée et la quantité de tabac consommé ont une influence sur le risque d’apparition d’un cancer.

Le cancer et le tabac

On recense à près de 5 000, la quantité d’éléments chimiques présents dans la fumée de tabac. Parmi ces derniers, plus de 200 types sont classifiés comme étant dangereux pour la santé et pas moins d’une cinquantaine sont considérés comme cancérogènes pour l’Homme et les animaux. Le tabagisme est le premier facteur de risque de cancer du poumon, de la cavité nasale, du larynx, de l’œsophage, de l’estomac, du foie, du pancréas, de la vessie, du rein, de la moelle osseuse, du côlon, du rectum,  du col de l’utérus et de l’ovaire. Ces risques peuvent diminuer lorsque la personne limite sa consommation ou arrête totalement de fumer. Toutefois, ils restent importants pour les non-fumeurs.

Le tabagisme passif

Les cancers liés au tabac ne s’arrêtent pas uniquement aux fumeurs invétérés. La fumée de tabac est un cocktail composé de milliers de produits chimiques sous forme de gaz ou de particule. Selon une étude, le tabagisme passif peut déclencher un risque de cancer du poumon. Quel que soit l’âge ou le sexe de l’individu exposé à la fumée, les conséquences sont imminentes. Dans le cas d’un cancer bronchique lié au tabagisme, les risques que coure un tabagisme passif ne sont pas identiques à ceux d’un tabagisme actif. Il existe également de nombreuses données mettant en évidence le lien entre le cancer du larynx et tabagisme involontaire.

L’usage de tabac non fumé

Autre que les cigarettes, on compte de multiples sortes de tabac non fumé vendues sur le marché. Ce type de tabac s’utilise soit par voie nasale, soit par voie orale. Ce phénomène provoque entre autres le cancer du pancréas et de la cavité buccale. Le fait de mastiquer de la chique de bétel, d’une façon excessive, entraîne notamment un cancer de l’œsophage et celui du foie également. Et quant à la consommation abusive du cannabis, les études ont montré le risque d’apparition d’une catégorie d’affection au niveau des voies respiratoires. À l’heure actuelle, les recherches entreprises n’ont pas permis de déterminer un quelconque lien entre le cannabis et cancer.

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